Soutenir la production et l’utilisation de l’information, et surtout des données
- Produire, collecter, stocker, traiter, analyser, partager des données : quelle(s) action(s) l’autorité locale doit-elle prendre en charge ?
- À quels types de données importantes pour le développement municipal et l’action publique, doit-on accorder la priorité : statistiques, décisions municipales, cartes, état civil ?
- À quelles fins l’autorité locale devra utiliser et exploiter les données générées : connaître, prévoir, contrôler, programmer ?
- Pour quels utilisateurs : l’administration locale, les autorités publiques tierces, le secteur privé, les citoyen·nes ?
- Quelles limites anticiper : capacité de stockage des données, formats de données, ignorance des problèmes pour lesquels il n’y a pas de données ?
Faciliter la communication et les échanges entre les acteurs du territoire
- Quelles priorités : relier des acteurs déconnectés, faire apparaître de nouveaux acteurs, favoriser de nouveaux modes d’échanges ?
- Quels acteurs : les usagers connectés, les populations vulnérables, le secteur privé, les entreprises informelles, les ONG ?
- À quelles fins : sensibiliser, consulter, ouvrir de nouveaux marchés, taxer, recenser ?
- Sous quelle forme : campagnes d’information, forums d’échanges, centres d’appels, réseaux sociaux, services marchands ?
- Avec quelles limites : alimenter des pratiques qui contournent les autorités locales, développer un système d’offres et de demandes qui exclut les plus vulnérables, dépendre d’intermédiaires ?